tout commence quai Vincenza avec un débalage où on signe, on vend, on rencontre, on plaisante, on a chaud…
on rencontre la presse
sur celle là, à part Jean-Marc le libraire de thônes en polo rouge derrière, il n’y a que des auteurs, à vous de les reconnaître…
le Bazar sans Frontière est là
on vend aussi des chapeaux, des tee shirts
on vend aussi nos livres qu’on a fait nous !
Éric Yung
René Frégni
Vincent Crouzet
Franz Bartelt & Stanislas Pétrosky
la télé
Talvat & Laloue et puis Pouy
Fioretto n’a pas compris ce qui se passe. Il est allé faire une sieste parce qu’il faisait chaud dans le train
Il débarque et se rend compte qu’il devait signer ses livres. Il croyait que les Pontons c’était seulement pour boire du rosé et se baigner : il est dubitatif ! Il ne se souvenait pas qu’ily avait aussi un salon du livre !
Beaucoup d’auteurs, mais quelques acheteurs de livres aussi !
bénévoles et libraires au boulot
rencontre avec Pouy aux Arts
Pouy à du mal à quitter la conversation en cours
ça commence, Jack (de la revue 813) fait la photo
sa compagne Corinne Naidet (chez 813, c’est elle la cheffe) commence a essayer de cuisiner un peu Jean-Bernard Pouy
pendant les questions Jean-Bernard Pouy pense à autre chose : il doit se dire “il fait chaud“
le bébé, lui, il s’en fiche !
comme à son habitude, Pouy n’écoute pas du tout les questions et raconte tout ce qui lui passe par la tête. Corrine (qui en est à sa X ième interview de Pouy) ne désespère pas de le voir un jour écouter une de ses questions. Mais comme ils sont les meilleurs amis du monde, tout ça est vraiment sympa.
on passe au Milton Pub voir Richard Morgiève et Ingrid Astier
puis chez Ingall’s pour voir Romain Slocombe
En fin de journée, on est attendu sur le Libellule
On va monter sur le bateau ;ça ne se voit pas, mais sur cette photo, il y a de la musique car le Jelly Sugar Band est sur le pont et joue un de ces bons vieux airs de jass qu’on jouaient sur ce bon vieux Mississippi en arrivant dans le French Quarter de la Nouvelle Orléans. Mais le photographe n’a pas eu le réflexe de se retourner car manifestement la photo est prise depuis juste à côté du groupe…
c’est le grand moment de Question pour un polar
mais avant, Serge va présenter toute la bande de portes stylos assassins
on remarque des flics, des espions, des repris de justice, des innocents les mains vides et quelques filles (ça vient, ça vient, elles sont de plus en nombreuses chaque année !)
c’est partit : Pascal Fioretto,
Jean-Bernard Pouy,
Ingrid Astier
Franz Bartelt
Marc Charuel
Joseph Incardonna
Bruno Jacquin
Richard Morgiève
Stanislas Petrovski
Nahiri Nahapetian
Jacky Schwartzmann
Marc Villard
Talvat & Laloue (just maried)
il en manque (le photographe a dû avoir une crampe de l’index) mais sur celle là, ils sont presque tous dessus même si il y en a qui sont bizarrement maquillés.
c’est parti pour le jeu
plus de 40 équipes
les zapettes marchent bien cette année
on a mis des piles neuves
et comme chaque année, il y a une équipe gagnante ! L’important c’est de participer n’est-ce pas ?
et les auteurs ont droit à leur traditionnel cadeau
un stylo Dupont
pendant ce temps là sur le pont
Carminati déambulle, l’air dégagé
comme il n’y a pas assez de place en bas pour tout le monde
on boit du rosé proposé par Bruno de la Java
on fait connaissance
on peut dire “j’adore ce que vous faites“, etc…
tu te rencontres ?
une croisière quoi !
même Denis (Rodi) à chaud)
et Carminatti explique à Frégni comment il a dû étrangler plusieurs personnes pour que l’on parvienne à éditer notre beau petit recueil de nouvelles Cadavre & Ski
Claudine fait sa tournée d’inspection
une image exceptionnelle : Élie avec une bouteille d’eau à la main
oh ! c’est pas vrai !
chapeau René
on se croirait un peu revenu au temps de la rubrique people d’Agate Gaillard dans le Paris-Match des années 70
Mais Karl Lagerfield n’est pas invité, on préfère Pierre Follacci
Le Jelly Sugar Band
joue ce bon vieux jass (etc) et ça danse ces bonnes vielles danses (etc)
il fait l’unanimité pour le retour à quai. Dommage, on n’a pas de bonnes photos. Mais on espère les avoir l’année prochaine (le groupe et les bonnes photos).
Le lendemain matin…
bistrot du Pêcheur
il n’y a que Christelle de la librairie “Rue de Verneuil“ qui bosse…
Fioretto à bien compris cette fois : il est à son poste dès potron-minet.
on est pas mal là pour un petit déj’ saucisson rosé
les vieux amis se retrouvent
ils ne se sont pas vus depuis la veille !
ils sont contents
vont-ils s’embrasser ?
la traditionelle brochette de poulets
et tout le monde veut être dessus, espions, indicateurs…
pendant ce temps là les pires délinquants se baladent en toute impunité !
une interview : Bartelt
deux interviews : Gavat
trois interviews… Bruno Jacquin
en route pour de nouvelles aventures
Chez ma Cousine…bout du lac
là c’est du sérieux, on mange !
une interview : Julien Messemacker
deux interviews : Crouzet
trois interviews : Pierre Folacci
quatre interviews : Marc Villard
cinq interviews : Éric Yung
la Tournette, “ce château fort bâtit par les titans“…
cette photo là, on a failli pas l’avoir : le photographe regardait ailleurs. mais on est parvenu à le capturer et en fin de compte 2018 aura sa photo de groupe sur le Ponton. Mais c’est passé juste !
en route pour l’Aquarama à Angon
il fait chaud
les attachées de presse ne pigent pas toujours qu’il y a des TGV jusque tard le soir… adieu les amis, vous raterez le goûter et la sacro sainte Chartreuse verte V.E.P.
il fait chaud, mais alors vraiment chaud !
très très chaud. Ça chauffe quoi. Il fallait y être pour comprendre…
ce coup ci on s’est baigné peinard pendant que les autres criaient “ouai ! but, incroyable, historique… (hystériques plutôt)
ça ne se voit pas sur la photo, mais il y a la finale de la coupe du monde de foot sur écran géant et il y a pas mal de monde qui oublie que c’est un festival de LITTÈRATURE et qu’on est pas là pour jouer à la balle et au prisonnier ! Pas mal de traîtres quand même !
une interview : Talvat Laloue (just married)
deux interviews : Stanislas Petrovski
trois interviews : Marc Charuel
Restent quelques invendus
René est soulagé : ça se tire… Pour la soirée privée après, ben… c’est privé quoi ! On ne peut pas tout montrer quand même : il y en a qui chantent, d’autres qui titubent, d’autres qui s’endorment sur les banquettes, d’autres qui sont nostalgiques car ça sent la fin ; et puis il y a des ovnis dans le ciel, un funambule qui déambule entre la mairie et le clocher de Saint Mô : les soirées surréalistes, ça ne se photographie pas. Surtout qu’on avait perdu le photographe depuis longtemps !